X-C33

X-C33

X-C33
Informations générales
Type de culture
  • Nourriture, boissons & drogues
Origine
  • Inconnue
Culture & Société LégendeLe X-C33 était un poison qui fut employé au cours de la Guerre des Clones par le Chasseur de Primes Cad Bane pour affaiblir le Maître Jedi Rodien Bolla Ropal.

En temps de guerre il n'était pas rare de voir des factions utiliser des substances diverses et variées sur des prisonniers pour les affaiblir ou bien encore obtenir des renseignements. Des méthodes contestables que la Confédération des Systèmes Indépendants n'hésitait pas à employer en recourant à une drogue d'origine inconnue prénommée X-C33.

Quelques mois après la Bataille de Geonosis, le Seigneur Noir de la Sith Darth Sidious chargea le tristement célèbre Chasseur de Primes Cad Bane de voler un Holocron au sein du Temple Jedi de Coruscant. Une fois la mission accomplie, il reçut ensuite l'ordre de gagner la planète Devaron pour enlever le Rodien Bolla Ropal, à savoir le gardien du fameux Cristal Kyber qui renfermait la liste complète de tous les enfants sensibles à la Force référencés par les Jedi à travers la Galaxie. Une fois capturé, le non-humain fut transféré à bord d'une Frégate de Communication Munificient du Clan Bancaire Intergalactique du Muun San Hill et entravé. Le Duros souhaitait obliger le captif à insérer le joyau dans le réceptacle qu'il avait précédemment dérobé avec l'aide de Todo 360 et de sa collègue Clawdite Cato Parasitti.

Afin de s'assurer de sa coopération, un Droïde de Combat B1 demanda à un IG-100 MagnaGuard d'équiper le captif d'un limiteur mental et d'une sonde à douleur en plus de l'administration d'une dose entière de X-C33. En dépit de l'intensité des décharges énergétiques reçues et des effets désagréables du poison qui coulait désormais dans ses veines, le Général de la Grande Armée de la République refusa de céder. Il perdit la vie sous la torture bien avant que le Chevalier Anakin Skywalker, la Padawan Ahsoka Tano, le Capitaine Rex et une poignée de clones abordent le vaisseau à son secours.

Références

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