Ana Vitorrian

Données biographiques
Genre
  • Féminin
Espèce
Taille
  • Inconnue
Planète d'origine
  • Inconnue
Personnage LégendeIssue d'une prestigieuse famille des Mondes du Noyau, Ana Vitorrian fit ses études dans les meilleures écoles, devint assistante au Sénat Impériale et avocate de la partie civile dans une Cour impériale. Elle devint avocate du Bhal'ir Noir plus tard.

Jeune femme très prometteuse, Ana Vitorrian était née sur l'un des Mondes du Noyau, au sein d'une famille particulièrement privilégiée qui avait, à peine était-elle venue au monde, déjà préparé sa carrière : elle ferait du droit. Après plusieurs années de cours intensifs dans les meilleures écoles de droit de la galaxie, elle intégra l'Académie de Carida, puis de là devint assistance au Sénat Impérial. Elle se spécialisa, peu à peu, dans la mise en place de stratégie juridique destinée à punir les ennemis de l'Empire Galactique, comme elle aimait à les appeler.

Bien qu'elle ne fut jamais une fervente adepte de l'Empereur Palpatine et de ses théories raciales, et qu'elle n'eut jamais sa carte au COMPNOR, elle appréciait la puissance du pouvoir impérial et sa capacité à contrôler la galaxie. Toutefois, toutes ses certitudes volèrent en éclats lorsqu'elle eut à faire comparaître un célèbre contrebandier du nom de Thaddeus Ross, natif de Corellia, lequel avait, outre ses charges pour contrebande, tué plusieurs Stormtroopers qui avaient décidé de s'en prendre, par pur racisme, à un Jawa sur la planète Tatooine. Elle comprit que tous n'étaient pas des ennemis de l'Empire et que certains faisaient, en plus du bien autour d'eux, leur travail consciencieusement et accomplissaient parfois des miracles ; ce que l'Empire ne s'empressait pas de faire.

Ana Vitorrian fut approchée par une puissante organisation criminelle basée sur Socorro, le Bha'lir Noir, qui comptait énormément de contrebandiers, chasseurs de primes et pirates. Elle devint l'avocate en chef chargée de défendre lesdits membres lors de leurs comparutions devant les autorités judiciaires. Sa façon de présenter le droit d'une manière austère et directe décontenançait souvent ses adversaires pro-impériaux, plus habitués aux effets de manches dans une cour souvent acquise.

Références

Beaux Livres
  • The Black Sands of Socorro, 1996

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