T. Alvak

Données biographiques
Genre
  • Masculin
Espèce
Époque
Epoque
  • Guerre Civile Galactique
Affiliations
Personnage LégendeOriginaire d'une planète inconnue, T. Alvak était un pilote de Chasseur TIE de la Marine Impériale de l'Empire Galactique de l'Empereur Palpatine.

Originaire d'une planète inconnue, Alvak était un individu fier et compétent qui décida comme son père de servir au cours de la Première Guerre Civile Galactique l'Empire Galactique et l'Empereur Palpatine. Après avoir suivi des études d'ingénieur non spécialisé, il décida de s'inscrire, à l'instar des futurs héros de l'Alliance Rebelle Biggs Darklighter et Tycho Celchu, à la prestigieuse Académie Navale de Prefsbelt IV. En raison de ses nombreuses aptitudes, il devint l'un des meilleurs éléments de sa promotion et fut diplômé avec une mention en navigation.

Par la suite, il servit pendant deux ans au sein de la 98ème Escadre de Navettes d'Observation Avancée Tempête Laser de la Marine Impériale en tant que pilote suppléant. La commission des promotions l'éleva ensuite au rang de Chef d'Escadrille suite à une formation en astronavigation - une discipline qui consistait à calculer des trajectoires hyperspatiales sûres et courtes entre deux points afin de donner à une formation un avantage temporel non négligeable -. Sa carrière prit un nouveau virage lorsqu'il intégra une école d'entraînement spéciale basée à bord du Star Destroyer Imperial Inflexible.

Une fois opérationnel, il participa, en tant que pilote de la Chasse Impériale aux commandes d'un Chasseur TIE de Sienar Fleet Systems, activement à la répression du Soulèvement de Solaest. Suite à cette opération, il reçut la Médaille Militaire Spatiale et le grade de Capitaine. Des distinctions qui lui permirent de rejoindre la Patrouille à Long Rayon d'Action de la Flotte de Solaest. En outre, ses supérieurs le jugeaient digne de confiance, mais parfois trop peu respectueux de l'autorité. On ignore encore à ce jour si le jeune homme vécut assez longtemps pour assister à la naissance de la Nouvelle République.

Références

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