Balosar

Balosar

Balosar
Caractéristiques physiques
Taille
  • 1m60
Type de peau
  • Rose pâle
Particularités physiques
  • Deux antennes
Données socioculturelles
Planète d'origine
Tempérament
  • Neutre
Langues parlées
Type de société
  • Démocratie corrumpue
Espèce LégendeLes Balosar sont une espèce native de Balosar. Elan Sleazebaggano en est un célèbre exemple.

Les Balosars étaient des humanoïdes natifs de la planète Balosar, dans les Mondes du Noyau. Connus pour leur corruption, les Balosars travaillaient essentiellement dans le monde du crime. Leur ressemblance avec les humains était frappante... hormis les deux antennes sortant de leurs crânes. Ces antennes pouvaient se replier à tous moments sous la peau du crâne, leur donnant une apparence encore plus humaine. Ces antennes étaient uniques dans la galaxie : elles permettaient aux Balosars d'améliorer leur ouïe en développant l'écoute subsonique, mais aussi en permettant une intuition psychique à l'instar des Jedi, qui prévenait d'éventuels dangers, comme les arrestations de la police. Une autre caractéristique physique des Balosars étaient leur extrême résistance aux toxines du fait de leur naissance sur une planète polluée par les industries lourdes. Cette dégradation de l'environnement était due à la surconsommation des Balosars et de la corruption des compagnies intergalactiques qui payaient les natifs pour construire des usines qui n'étaient pas aux normes galactiques. C'est ainsi que les organisations de la République Galactique, chargées de traquer la corruption, s'interrogea sur la réelle capacité des Balosars à s'auto-gouverner...

Pour le Journal de la Personnalité et de la Psychologie Galactique, les Balosars étaient l'exemple même de la cupidité et de l'avarice, mais cela n'était pas inné à la génétique de l'espèce. D'après le Journal, c'était le système économique et la culture dans laquelle l'espèce était plongée qui donnait ce genre de comportement. A l'inverse, de nombreux Balosars vivaient dans une extrême pauvreté, loin en bas des tours dans lesquelles leurs homologues corrompus vivaient, ce qui incitait d'autant plus à plonger dans la criminalité pour s'en sortir, ou bien à quitter sa planète pour vivre honnêtement.

Balosar

En plus d'une démocratie corrompue, les Balosars ne pouvaient pas accéder à un système éducatif digne de ce nom. En effet, ce dernier avait été bradé : pour accéder à un poste, un professeur devait payer. Pour recevoir une éducation, les Balosars moyens devaient quitter la planète. Les recherches scientifiques qui s'étaient penchées sur Balosar prouvèrent que pour qu'un jeune s'en sorte, il devait quitter la planète le plus tôt possible pour recevoir une éducation faute de quoi il avait plus de chance d'être un paria. Les étudiants qui quittaient leur planète y revenaient rarement pour changer la situation. Le gouvernement Balosar était intimement lié au commerce illégal des Bâtons de la Mort. L'ingrédient essentiel en était le champignon Balo, dont provenait la toxine Ixetal cilona, que les Balosars récoltaient dans des fermes souterraines. Extrêmement toxiques et fortement addictifs, les bâtons avaient permis d'enrichir la société Balosar au détriment de milliards de victimes au travers de la galaxie. Sauf les Balosars, immunisés aux toxines des drogues. C'est ainsi que cette espèce devint le dealer numéro un de bâtons dans la galaxie, comme Elan Sleazebaggano sur Coruscant. Sous la République Galactique, les Balosars affrontèrent les Twi'leks avec leur Ryll pour le contrôle du marché de la drogue. Sous la Nouvelle République, la nature fit ce que les Twi'leks ne purent accomplir : la pollution pénétra les fermes souterraines et détruisit de nombreux stocks de spores ; c'est ainsi que les Balosars perdirent le marché de la drogue.

Références

Beaux Livres
  • The New Essential Guide to Alien Species, 2006
  • Ultimate Alien Anthology , 2003

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