Pour le Journal de la Personnalité et de la Psychologie Galactique, les Balosars étaient l'exemple même de la cupidité et de l'avarice, mais cela n'était pas inné à la génétique de l'espèce. D'après le Journal, c'était le système économique et la culture dans laquelle l'espèce était plongée qui donnait ce genre de comportement. A l'inverse, de nombreux Balosars vivaient dans une extrême pauvreté, loin en bas des tours dans lesquelles leurs homologues corrompus vivaient, ce qui incitait d'autant plus à plonger dans la criminalité pour s'en sortir, ou bien à quitter sa planète pour vivre honnêtement.
En plus d'une démocratie corrompue, les Balosars ne pouvaient pas accéder à un système éducatif digne de ce nom. En effet, ce dernier avait été bradé : pour accéder à un poste, un professeur devait payer. Pour recevoir une éducation, les Balosars moyens devaient quitter la planète. Les recherches scientifiques qui s'étaient penchées sur Balosar prouvèrent que pour qu'un jeune s'en sorte, il devait quitter la planète le plus tôt possible pour recevoir une éducation faute de quoi il avait plus de chance d'être un paria. Les étudiants qui quittaient leur planète y revenaient rarement pour changer la situation. Le gouvernement Balosar était intimement lié au commerce illégal des Bâtons de la Mort. L'ingrédient essentiel en était le champignon Balo, dont provenait la toxine Ixetal cilona, que les Balosars récoltaient dans des fermes souterraines. Extrêmement toxiques et fortement addictifs, les bâtons avaient permis d'enrichir la société Balosar au détriment de milliards de victimes au travers de la galaxie. Sauf les Balosars, immunisés aux toxines des drogues. C'est ainsi que cette espèce devint le dealer numéro un de bâtons dans la galaxie, comme Elan Sleazebaggano sur Coruscant. Sous la République Galactique, les Balosars affrontèrent les Twi'leks avec leur Ryll pour le contrôle du marché de la drogue. Sous la Nouvelle République, la nature fit ce que les Twi'leks ne purent accomplir : la pollution pénétra les fermes souterraines et détruisit de nombreux stocks de spores ; c'est ainsi que les Balosars perdirent le marché de la drogue.