Sorte d'intermédiaire entre le Droïde de Combat et le Droïde Assassin dans la gamme d'Arakyd Industries, le Droïde Traqueur DSK-1 Deathstrike se présentait sous la forme d'une sphère flottant sur sa bobine répulsive. N'emportant que le strict minimum en matière d'équipement - un comlink, des senseurs à champ de vision de 360° à vision infrarouge - afin d'économiser l'espace, le DSK-1 disposait en revanche d'un armement surabondant de six blasters montés sur des emplacements externes stabilisés pouvant tirer dans toutes les directions simultanément, ce qui lui conférait un avantage certain lorsqu'il était engagé face à plusieurs adversaires.

Les DSK-1 pouvaient être utilisés tant comme droïde d'assaut pour mener des attaques, que comme droïde de défense ; néanmoins, en raison de la violence dont il faisait preuve lors des combats, il était très rarement employé à l'intérieur des bâtiments afin d'éviter qu'il endommage son environnement. En revanche, le DSK-1 s'avérait idéal pour des escarmouches : des groupes de six de ces droïdes pouvaient suffire à désorganiser l'arrière des lignes ennemies, favorisant les chances de succès d'un assaut. Par ailleurs, certains seigneurs de guerre de la bordure extérieure l'employèrent pour disperser les foules d'opposants.

Le Deathstrike ne fut cependant produit qu'en de petites séries à l'extrême fin de la Guerre des Clones, les exemplaires construits étant utilisés par les forces armées impériales dans des zones d'engagement secondaires. A l'époque de la Nouvelle République, seuls quelques seigneurs de guerre de la bordure en utilisaient encore pour des tâches de maintien de l'ordre et de dispersion des manifestants. Notons par ailleurs qu'au moins un Hutt en utilisa pour sa protection.