
Le portefeuille proéminent à la ceinture, il commençait généralement ses inspections par des négociations avec les capitaines, espérant ainsi encaisser sa "taxe d'inspection" privée de 100 crédits, avant de passer à une inspection minutieuse, au cours de laquelle il avait coutume de vider les réserves de liqueur du bord tout en ne se préoccupant guère des violations de la réglementation dont pouvait se rendre coupable le vaisseau du moment que son "pourboire" avait été encaissé.