Blockade Runner de Classe Foray

Blockade Runner de Classe Foray

Blockade Runner de Classe Foray
Informations générales
Type de vaisseau
  • Vaisseaux Capitaux
Constructeur/Producteur
Apparition
  • Avant -3963 ap. BY
Caractéristiques techniques
Modèle/Classe
  • Foray
Taille
  • 155 mètres
Armement
  • 2x batterie à turbolaser moyenne
Capacité
  • 2 800 tonnes
Equipage
  • 40 à 100 personnes
Passagers
  • 300 personnes
Hyperpropulsion
  • x2
Autonomie
  • 9 mois
Commerce
Prix
  • 3 000 000 crédits
Disponibilité
  • Militaire uniquement
Vaisseau LégendeVaisseau capital extrêmement robuste qui fut employé par la République pour protéger le front lors des Guerres Mandaloriennes. Ils furent retournés contre elle au cours de la Guerre Civile des Jedi lorsqu'ils tombèrent aux mains des Sith.

Ces vaisseaux produits par Republic Fleet Systems étaient à l'origine destinés à l'exploration de territoires inconnus et à l'expansion du territoire de la République. Assez maniables et robustes, ces vaisseaux étaient également capables de quitter rapidement une zone de combat en subissant le minimum de dégâts, ce qui en faisait des vaisseaux parfaits pour le soutien, la protection ou pour des escarmouches.

Lorsque les Guerres Mandaloriennes éclatèrent, la République Galactique se trouva en grand manque de vaisseaux pour assurer sa défense sur la très large ligne de front. C'est pourquoi elle réassigna tous les vaisseaux de classe Foray pour servir d'arrière-garde à la Marine Républicaine. Les Blockade Runners furent alors envoyés en mission sur les mondes tombés aux mains des mandaloriens pour porter secours aux populations et leur fournir des vivres malgré l'occupation. Grâce à leur robustesse, ils pouvaient en effet franchir sans dommage les blocus imposés par les mandaloriens.

Quelques années plus tard, les Blockade Runners continuèrent à forcer les blocus au cours de la Guerre Civile des Jedi. Mais cette fois, c'étaient les blocus républicains qui étaient traversés par les vaisseaux désormais à la solde de l'Empire Sith de Revan.

Références

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