Corporate Sector Authority

Corporate Sector Authority

Corporate Sector Authority
Informations générales
Origine
  • Fondation par une ligue dirigée par le Baron Tagge
Apparition
  • Dès -300 ap. BY
Type d'organisation
  • Groupements politiques
Faction LégendeLe Corporate Sector Authority était l'organe dirigeant du Secteur Corporatif, regroupant de nombreuses entreprises comme Kuat Drive Yards ou Santhe/Sienar Technologies.

Le Corporate Sector Authority (CSA ou Autorité du Secteur Corporatif) était l'entité économique tout autant (voir plus) que politique dirigeant le Secteur Corporatif. Indépendante de l'Empire qui reconnut sa légitimité en raison des services rendus, elle se composait d'une chaîne de direction calquée sur le modèle d'une entreprise dont les noms des postes dirigeants furent édulcorés afin de lui donner une apparence politique plus que financière.

I- Echelon de Direction

Conseil des Direx

Le Conseil Exécutif de Direction (ou Conseil des Direx) était la plus haute autorité du Secteur Corporatif puisqu'elle établissait les niveaux de production à atteindre ainsi que la politique générale du secteur sur plans triennaux ratifiés à la majorité des deux tiers, accordait les budgets annuels et trimestriels et dirigeait les Viceprex de chaque département, lesquels étaient chargés d'établir sur la base des directives du Conseil des Direx une planification à suivre.

Le Conseil Exécutif de Direction était composé par 37 représentants des compagnies faisant partie des sponsors Votants (à raison d'un siège par membre) et 18 représentants des sponsors Contribuants, avec rotation des sièges tous les dix mois afin de permettre à chacune des entreprises de siéger.

La différence entre ces deux catégories résidait dans l'investissement opéré dans le Secteur Corporatif. Ainsi, pour devenir Sponsor Votant, une entreprise devait effectuer un investissement d'au moins cinquante millions de milliards de crédits, la moitié en dons directs en crédits ou installations et l'autre moitié en achats d'actions et bons du trésor. Les Sponsors Votants originaux étaient :

Organisation de la Corporate Sector Authority

Organisation de la Corporate Sector Authority

En revanche, les Sponsors Contribuants étaient des entreprises ayant accordé un financement d'au moins cinquante milliers de milliards de crédits en devises, services ou équipement, leur mise moins importante (n'empêchant pas un retour sur investissement de 360% en quelques années) justifiant leur nombre de sièges réduit. Parmi la centaine d'entreprises contribuantes, les premières furent :

Réunion du Conseil des Direx

Réunion du Conseil des Direx

ExO (Executive Officer)

Le Conseil Exécutif de Direction était présidé par un Executive Officer (ExO), généralement élu à la majorité absolue parmi les Viceprex et, cas plus rare, des membres d'autres entreprises. Une fois élu, il devait démissionner de toutes ses fonctions en dehors de l'Autorité et échanger toutes ses actions d'autres compagnies pour des actions du CSA. Notons qu'après une première élection, un ExO ne pouvait être réélu qu'avec une majorité des trois quarts.

L'ExO était le seul individu au sein du CSA pouvant convoquer l'assemblée des Direx et prétendre posséder un pouvoir politique, et, bien qu'il fût théoriquement tenu de prendre ses décisions en concertation avec le Conseil des Direx, celui-ci se voyait progressivement réduit à un simple rôle consultatif, laissant à l'ExO le pouvoir exécutif final. Cependant, un vote de défiance pouvait être voté à la majorité absolue à l'encontre de l'ExO et le contraindre à la démission.

Comités Consultatifs Provisoires

Les Comités Consultatifs Provisoires étaient des assemblées pouvant être composées de membres extérieurs au CSA qui pouvaient être réunies avec l'approbation du Conseil des Direx afin de travailler en conjonction avec les Comités d'Etude de Faisabilité organisés par les Viceprex pour examiner les projets en cours, déterminer coûts, bénéfices et inconvénients des plans établis pour leurs secteurs. La durée moyenne du maintien d'un comité était de deux ans, bien que certains aient été maintenus pendant des décennies.

Conseiller Impérial

Malgré son indépendance théorique, le Conseil des Direx était soumis aux volontés de l'Empereur qui lui étaient transmises par l'intermédiaire d'un Conseiller Impérial, probablement (et paradoxalement) le personnage le plus important de l'Autorité puisqu'un rapport négatif sur ses activités entraînerait sans délai une nationalisation du CSA. Cependant, en raison de son apport considérable à l'effort de guerre impérial, l'Empereur passait généralement l'éponge sur les "abus" commis par l'Autorité, et le conseiller était généralement en bons termes avec le Conseil des Direx.

Prex

Le Prex était un membre du Conseil des Direx déterminé aléatoirement par ordinateur pour une durée de deux ans afin de contrebalancer le pouvoir de l'ExO en contrôlant et détaillant les fonctions du Conseil Exécutif de Direction, ainsi qu'en rédigeant le rapport annuel secret remis au Conseiller Impérial et destiné à l'Empereur, basé sur ses appréciations personnelles et les rapports fournis par le bureau de l'Auditeur-Général. Par ailleurs, le Prex avait seul le pouvoir de contrôler l'Auditeur-Général qui dirigeait le Bureau de Service Indépendant (Detached Duty Office) et le Bureau de Liaison de Sécurité Corporative (Corporate Security Liaison Office).

Le poste de Prex possèdait l'avantage de ne pas être subordonné au Conseil des Direx et, par conséquent, de disposer d'une relative stabilité et d'un prestige parfois supérieur à celui de l'ExO. Cependant, le pouvoir du Prex avait ses limites, à savoir l'impossibilité d'édicter de nouvelles lignes politiques tout en ne pouvant que renforcer les lignes existantes en raison de son contrôle sur les différentes agences politiques... Par conséquent, toute tentative de réforme émanant du Prex serait confrontée à l'hostilité des Direx qui n'hésiteraient pas à le faire assassiner par la Division Sécurité : au moins trois Prex seraient ainsi morts dans des circonstances douteuses.

Auditeur-Général

L'Auditeur-Général, subordonné au Prex pouvait être considéré comme le ministre de la défense du Secteur Corporatif, et, plus important, son bureau était clairement responsable de coordonner les actions de ses "agents de terrain lointains", espions industriels infiltrés partout dans la galaxie et de ses "informateurs motivés" au sein des services civils impériaux avec celles des Division Media et Sécurité, mais également de trier les informations reçues de l'extérieur et d'enquêter sur les activités suspectes au sein du CSA. Il était ainsi chargé de suivre les opérations du CSA et d'en éliminer tous les éléments corrompus et inefficaces, jouant en cela le rôle d'une police secrète grâce au Bureau de Service Indépendant.

Les renseignements collectés étaient par la suite envoyés au Conseil des Direx et à l'ExO dans le fameux rapport annuel secret.

Bureau de Service Indépendant

Le Bureau de Service Indépendant représentait la plus grosse responsabilité de l'Auditeur-Général puisqu'il était chargé à la fois de créer l'image civique (et fort peu réaliste...) du CSA et de jouer le rôle du département des affaires internes en pouvant enquêter sur absolument tous ses membres en cas de corruption, y compris l'ExO, le Prex et les membres du Conseil des Direx, puisqu'en dépit de leurs "privilèges" étendus, certains de ses membres ne pouvaient résister à l'appât du gain. Les agents du Bureau de Service Indépendant avaient donc tout pouvoir pour perquisitionner les données et locaux de toutes les divisions de l'Autorité et intercepter leurs communications.

OMM

L'OMM (Operational Multisystem Management) était une base de données centralisée constamment remise à jour par communications à hypercanaux à laquelle tous les centres d'affaires du Secteur Corporatif pouvaient se connecter afin de trouver sans délais une information précise. Étonnement, l'Autorité recrutait les techniciens chargés de sa protection auprès de pirates informatiques arrêtés pour y avoir détourné des informations, leur permettant de mettre leurs compétences à son service. En raison de cette politique opportuniste et d'un système avancé de mots de passe codés, l'OMM n'avait jamais pu être sérieusement endommagé.

II- Echelon de la Division : les Viceprex

Viceprex

Les Viceprex étaient, contrairement aux membres d'instances supérieures telles que le Conseil des Direx, des employés permanents de l'Autorité et en formaient pour ainsi dire le principal noyau décisionnel à l'échelle de la division à la tête de laquelle ils étaient placés en raison de leur grande indépendance : ils pouvaient en effet organiser, répartir le budget et les programmes des subdivisions placés sous leur contrôle comme bon leur semblait pour une efficacité optimale. Il était du ressort du Viceprex de créer des Comités d'Etude de Faisabilité, techniquement indépendants, qui travaillaient soit en collaboration avec les Comités Consultatifs Provisoires, soit avec le Conseil des Direx, soit seuls pour travailler sur des rapports et études portant sur des projets et des propositions.

Aux Viceprex Executifs étaient subordonnés des Assistants-Viceprex en charge des sections principales des divisions, ainsi que des administrateurs chargés de les seconder pour les tâches courantes.

Division Media

La division Media avait la lourde tâche de contrôler toutes les communications du secteur corporatif, de s'occuper des relations publiques avec les secteurs voisins en présentant une image positive du CSA (à grand renfort de propagande, messages subliminaux...), des études de consommateurs, mais également des études démographiques et des campagnes de recrutement et de drainage de capitaux extérieurs. Par ailleurs, et c'était là son principal travail, la Division Media contrôlait les retransmissions publiques (des fictions aux émissions sportives en passant par les "informations financières") afin que celles-ci restent bien fidèles à la morale du CSA, n'hésitant pas à détourner sans ambages les faits pour contrôler l'opinion publique. Enfin, la Division Media était chargée de la production de programmes de divertissement destinés à faire oublier aux employés de CSA leur triste quotidien... La Division Media se divisait en plusieurs subdivisions :

  • Démographie : cette subdivision était chargée d'étudier les habitudes de consommation dans le secteur qui seraient par la suite transmises aux sections Divertissement et Publicité. Par ailleurs, la section démographie s'occupait des études démographiques pour les médias d'information, en trouvant des formules détournées pour dissimuler les décisions spoliant les habitants du secteur sous des aspects de tendances économiques lourdes inévitables.

  • Relations Publiques était la subdivision responsable de vendre une image positive du CSA partout dans la galaxie, afin de promouvoir son image de marque. De même, elle était chargée - à grand renforts de messages subliminaux - de convaincre les habitants du secteur de leur chance d'être employés par l'Autorité.

  • Divertissement était chargée de la production d'holodrames, comédies, musique, théâtre et de "docufictions", toutes tournant autour de deux même thèmes principaux : "un travail dur est toujours payé grâce à l'Autorité qui elle-même travaille dur pour donner une chance à tous" et "ceux qui ne travaillent pas dans l'Autorité souffrent dans les mains du destin" deux leitmotivs clairement destinés à manipuler la population afin qu'elle travaille dur pour le CSA. La subdivision Divertissements était aussi en charge des ligues sportives qu'elle manipulait pour maintenir un climat de compétition et d'excitation afin de faire de ses meilleurs sportifs les meilleurs de la galaxie, chose facilitée par la qualité de leurs complexes d'entraînement.

  • Recrutement était une subdivision disposant de bureaux partout dans l'Empire. En effet, elle était responsable du recrutement de nouveaux employés pour le CSA.

  • Publicité était, comme son nom l'indiquait, la subdivision ayant pour tâche d'effectuer des campagnes publicitaires pour les productions du CSA et de faire des simulations de marché au sein du secteur pour tester leur succès potentiel à l'échelle galactique.

Division Recherche

La Division Recherche s'occupait de la création de nouveaux produits et pouvait travailler en coopération avec les équipes de création et de marketing des entreprises sponsors ou en indépendant pour des projets secrets amorcés par l'autorité elle-même comme c'étaitle cas pour les équipements militaires destinés à la Division Sécurité.

Division Légale

La Division Légale était l'une des plus grosses de l'Autorité, et était chargée de régler les différends pouvant l'opposer à l'Empire ou à des compagnies extérieures au Secteur. Pour cela, elle était divisée en deux subdivisions :

  • le Tribunal inter-corporatif théoriquement "indépendant" chargé de modérer les litiges tant entre les entreprises sponsors au sujet des politiques et ressources de l'Autorité, qu'entre les petites compagnies ou les travailleurs du secteur.

  • le Service de Liaison Secteur/Empire, chargé de représenter les intérêts du secteur auprès de l'Empire et de tempérer (avec difficulté) les conflits opposant le secteur aux Moffs des deux secteurs adjacents.

Division Financière

La Division Financière gèrait toutes les transactions monétaires du Secteur, du plus petit échange de Cash Voucher aux gros investissements d'entreprises en passant par l'émission de bons et la régulation du taux de change (approximativement d'1.3 ACV pour 1 Crédit Impérial) et de la mise en circulation des gemmes, cristaux et autres "biens rares". Ses quatre subdivisions étaient :

  • Revenu Brut, chargée de tenir à jour les actifs, les ressources, les dépenses et les revenus de l'Autorité mais aussi de prévoir les tendances économiques. C'était l'une des plus grosses masses bureaucratiques du CSA

  • Revenu, dont la tâche consistait à collecter les taxes des entreprises et des particuliers vivants dans le Secteur, payer les taxes impériales, contrôler les réserves de minéraux rares et les prix en vigueur dans le Secteur, et, enfin, payer les salaires et dividendes des employés, sous-traitants, sponsors et actionnaires.

  • Valeur et Investissements contrôlait les transactions d'actions du CSA, celles-ci ne pouvant en effet être vendues à un tiers qu'après autorisation, l'Autorité possédant des privilèges de rachats d'actions. Cette subdivision était également chargée de proposer aux investisseurs potentiels une gamme étendue de services : bons, investissements spéculatifs, comptes de dépôts à terme...

  • Contrats et Licence était chargée d'établir des contrats après de compagnies de tout type en dehors des frontières du secteur. En effet, en raison de son organisation unique et de ses accords fiscaux avec l'Empire, le CSA pouvait mettre sur le marché des produits de haute qualité et des matières premières à des prix défiant toute concurrence, y compris pour des entreprises extérieures, bien que les sponsors aient des tarif extrêmement avantageux. Par ailleurs, cette subdivision était chargée de l'autorisation d'exploitation de ses licences, comme par exemple l'utilisation du logo de l'équipe de Shockball des Bonadan Blasters.

Division Ressources

En raison de son rôle clef de recherche de nouvelles ressources et de répartition de l'équipement au personnel de l'Autorité, la Division Ressources était la seconde plus grande division du CSA, avec trois subdivisions :

  • les Services d'Exploration, qui recrutaient des explorateurs chargés de scanner et répertorier les milliers de mondes inexplorés du secteur dans l'espoir de trouver des matières premières. Une fois celles-ci trouvées, l'information était envoyée à la subdivision Faisabilité de la Division Production.

  • les Services Centraux, responsables de l'entretien de tous les équipements appartenant au CSA, qui, en raison de l'immensité de la tâche à accomplir travaillaient comme services semi-autonomes

  • Fournitures et Allocations qui était la subdivision procurant toutes les denrées nécessaires au personnel de l'Autorité (fournitures alimentaires, de bureau, droïdes, véhicules, vaisseaux...). Réputés pour leur avarice dans la répartition des biens, les agents de cette subdivision étaient à la fois méprisés par le personnel des autres branches et courtisés pour obtenir leurs faveurs...

Division Sécurité

La Division Sécurité était en charge de toutes les activités militaires et de sécurité interne du Secteur, et pouvait recevoir ses ordres directement de l'Auditeur-Général. Cette Division, composée des subdivisions Flotte de Protection, Force de Détention, Espo et du département d'espionnage est traitée de façon plus approfondie dans la fiche "Division Sécurité du CSA".

Division Production

Coeur de l'Autorité et plus grande de ses divisions, la Division Production utilisait les rapports de la Division Ressources pour procéder à la prospection des matières première et leur transformation industrielle. Elle était également responsable de l'établissement de colonies. Ses subdivisions étaient :

  • Planification, dont les tâches étaient la gestion de toutes les installations existantes, des lieux de production de matières premières aux usines en passant par les entrepôts et les lieux de vente des productions du CSA. La subdivision Planification déterminait ainsi quels produits seraient fabriqués, où et quelle en serait la production.

  • Développement des Ressources prenait en charge la construction de nouvelles installations sur la base de rapports transmis par la subdivision Faisabilité, ainsi que l'amélioration d'installations existantes afin d'en augmenter la productivité et la rentabilité (cela sans aucune préoccupation pour la sécurité des employés).

  • Faisabilité, était la subdivision qui, sur la base des données fournies par le Service d'Exploration, mènait une enquête plus approfondie et déterminait quels seraient les systèmes pouvant être colonisés en priorité pour une exploitation la plus rapide et productive possible. C'était dans ce but qu'elle avait classifié comme espèces "non pensantes" des espèces intelligentes (sa mission secondaire étant de répertorier les formes de vie dans le secteur), afin de permettre une exploitation sans limites des systèmes nouvellement colonisés.

Administration Territoriale

L'Administration territoriale avait pour tâche de travailler en collaboration avec les autres divisions afin d'établir les politiques générales de développement du Secteur Corporatif, lequel était divisé avec autant de rigueur que les territoires impériaux avec, par ordre décroissant de taille :

  • le Territoire, dirigé par un Administrateur Territorial, disposait d'une certaine autonomie d'organisation interne afin d'être le plus rentable possible, et était généralement l'échelle idéale pour tester des programmes de production expérimentaux. La défense d'un Territoire était assignée à un Precinct de la Division Sécurité. A la fondation du Secteur Corporatif, celui-ci ne comptait que trois Territoires, contre 29 aujourd'hui, auxquels d'autres se rajouteraient dans un futur proche.

  • un Territoire était divisé en 3 à 40 Régions placées sous la juridiction d'un Directeur Régional subordonné à l'Administrateur Territorial, mais disposant lui aussi d'une grande marge de manoeuvre pour organiser la production.

  • une Région était composée de 50 Zones à la tête de chacune desquelles officiait un Directeur de Zone lequel bénéficiait aussi de beaucoup de flexibilité afin de s'adapter aux conditions naturelles de la douzaine de systèmes les composant. Chaque Zone bénéficiait de la protection d'une Sous-Precinct.

  • enfin, le Marché était la plus petite division du CSA : elle représentait un ensemble capable de générer 50 milliards de crédits par an. Par conséquent, sa taille était variable, d'une ville dans des mondes industriels à une planète entière dans des mondes agricoles. Il était dirigé par un Superviseur et son équipe d'Administrateurs Locaux.

Le Secteur Corporatif disposait ainsi d'un système gouvernemental idéal pour une exploitation sans limites des richesses de ses territoires au sein de laquelle, notons-le, ses dirigeants n'ont aucune responsabilité devant le peuple - les "employés" ou "consommateurs" pour reprendre les termes en vigueur dans le CSA - lequel n'était en aucun cas associé à sa direction et ne possédait aucun droits mais uniquement une poignée de "privilèges" accordés par l'Autorité dans sa grande bonté...

Références

Beaux Livres
  • Han Solo and the Corporate Sector Sourcebook, 1993

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